Les clameurs de l’été se sont tues et il faut se préparer a affronter le froid de l’hiver. C’est donc une phase d’introspection, nous nous préparons a faire face a nous même. Pendant la phase lutéale il s’agit de vérifier que ce qui est indispensable est bien présent dans notre vie. C’est le temps du développement interrieur. Mais c’est aussi une phase propice au jugement dans le bon sens comme dans le mauvais.
L’ovocyte est parti vivre ça vie et ce qui reste du follicule se transforme en corps jaune. Et il sécrète alors de la progestérone, hormone progestative qu’elle prépare l’utérus a la nidation : l’endomètre s’épaissie et sa vascularisation s’enrichit. Le taux d’œstrogene chute, rendant impossible une nouvelle ovulation. Le corps se prépare à une éventuelle grossesse , l’énergie redescend avec une chute de la sérotonine et de la dopamine. Mais pas de panique, cette chute est équilibrée par la progestérone, qui a aussi une influence bénéfique sur l’humeur. S’il n’y a pas eu fécondation, la chute du taux de progestérone déclenchera les règles à la fin du cycle. Normalement cette phase dure entre 10 et 15. Ça durer varie peut entre les femmes. Cependant une phase trop courte et un taux de progestérone bas rendront la nidation compliquée.
Pour l’ayurveda cette phase lutéale implique le dosha Pitta. Energie transformatrice au qualités simmilaires à celle du feu et de l’eau. Un exces de pitta produira une chaleur suplémentaire, avec accumulation dans le foie. Ce qui se traduira par un feu interrieur se manifestant par des irritations physiques ou nerveuse, des maux de tete, des migraine…. Mais aussi un déséquilibre emotionelle.
Un retour à soi
Tout dans notre corps nous prépare a l’introspection, le taux de testosteronne baisse avec l’augmentation du taux de progesteronne. Et cette derniere favorise la relaxation musculaire. La sécrétion acrue de GABA, hormone qui freine l activité mentale nous rend de plus en plus intuitive. Il est donc important de s’ecouter; de ralentir. Cela nous permettra aussi de glisser doucement dans l’hivers et de bien le préparer. D’ailleurs plus on se raproche de nos regles plus nos envie sportives evoluent. On est plus tentée par des pratiques douces comme du yoga de préférence en début de soirée.
Soutenir les éliminations
La saison du foie
Après le pic hormonal de l’ovulation, il faut bien dégrader les hormones pour les éliminer. Et le foie met donc les bouchées doubles et a besoin de beaucoup d’énergie pendant la phase lutéale. On va donc veiller à ne pas manger n’importe quoi. Taches plus compliquées que prévu, car avec la baisse des œstrogènes on synthétise moins bien la sérotonine, notre antidépresseur naturel. Et pour compenser le corps nous incite a consommer des aliments riches en tryptophanes ( précurseur de la sérotonine) comme du chocolat, des produits laitiers et de banane. Mais aussi du sucre ( gâteaux, mais aussi pain ou pâtes) qui facilite la péntration du tryptophane dans la barrière hémato-encéphalique. On risque donc de manger trop et mal. Donc on fait attention à ce que l’on consomme.
On ira plus vers un allégement digestif : on suprime les surcharges et les aliments toxique et on evite les grignotage. Et si vraiment on en a tres envie on se tournera plus vers une banane qu’une tablette de chocolat. Et pourquoi pas enrichir notre alimentation d’aliment bon pour le foie? Comme avec des aliments amer ( pissenlit, artichaud, radis noir) bien connu pour leurs effets hepatique. Mais aussi avec des crucifere riche en indole-3-carbinol ( brocoli, chou kale, chou de bruxelles) pour éliminer les oestrogenes.
Soigner la digestion
La progesterone sécrétée pendant la phase lutéale peut ralentir notre digestion et amplifier les femrentation intestinale. Cela cause des déréglement intestinaux et une plus grande toxémie. Mais cela peut egalement avoir un impact sur notre équilibre hormonale, car une fois les ostrogenes dégradé par le foie, ils sont évacuer par les intestins. Et notre muqueuse intestinals les reabsorbe. Phénomene emplifier avec une constipation.
Si notre transit est lent ou dificile on augmentera progressievement nos apports en fibres (céréale complette et legumes ( surtout verts)) ; Et on s’hydrate suffisament, ce qui ne rendra pas nos selles trop seches ». En outres la conbinaison des fibres et de l eau fait gonflé le bol alimentaire et stimule les mouvements intestinaux. Une activité physique est aussi un allié indispensable, apportant du mouvement il favorise l’evacuation.
Notre flore intestinale joue aussi un rôle central dans notre digestion. Mais aussi dans les réabsorptions des œstrogenes, car ce phénomène physiologique peut être mis à mal par une quantité trop importante de bactéries dites estrobolomes. On va donc vouloir conserver une symbiose intestinale afin que tout se passe comme sur des roulettes. Pour ça on évite les aliments inflammatoires et on favorise les aliments probiotiques comme les asperges, l’ail ou les légumes lactofermenté.
Écouter son corps et se reconnecter à son cycle féminin est un chemin magnifique vers notre féminin sacré ( article ici). Il permet de mieux connaitre notre corps, nos besoins, mais aussi le ballet de nos émotions. Tout en nous accompagnant sur la découverte de nos ressources intérieures. Sur un plan plus vaste, ça nous permet aussi de renforcer notre connexion à la nature et au cycle du vivant. Ainsi nous verrons l’hiver, le printemps, l’été et l’automne .
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